
À partir d’images imprimées déjà existantes tirées de leurs archives personnelles, les participant·e·s conçoivent de petites scènes tridimensionnelles mêlant collages, découpages et assemblages d’éléments visuels. Une camera obscura artisanale, construite sur place pendant l’atelier et dotée d’une lentille, d’un verre dépoli et d’un mécanisme de mise au point, sert ensuite à photographier ces maquettes avec un appareil numérique. L’atelier explore un processus à la fois manuel et expérimental, où le bricolage analogique dialogue avec la capture numérique pour produire des images énigmatiques et singulières.